Evka : Salut Nikko !
Nikko : Salut Evka !
Evka : Comment tu vas aujourd’hui ?
Nikko : Ça va très bien et toi ?
Evka : Bah moi, je suis trop contente parce que t’es avec moi aujourd’hui et parce que tu vas nous parler un petit peu de tes voyages.
Nikko : C’est ça.
Evka : Alors avant de commencer, j’aimerais que tu te présentes. Qui es-tu Nikko ?
Nikko : Eh bien ! je suis Nikko, je suis français originaire d’une belle région que tu connais très bien, la Bretagne. J’ai 34 ans et je vis également au Mexique, depuis maintenant deux ans et demi.
Evka : Ok. Et est-ce que t’as des passions dans la vie ?
Nikko : J’ai beaucoup de passions, j’ai beaucoup de passions, notammentEN: IncludingES: Incluso pour la musique, pour le cinéma, pour la gastronomie, pour le football, pour sortir avec mes potesSynonyme :Amis, faire la fête, bien manger, passer du temps avec les gens qu’on aime.
Evka : Oh bah dit donc, trop cool ! Et est-ce que tu joues d’un instrument ?
Nikko : Je joue de la guitare, oui, et un tout petit peu d’accordéon.
Evka : Alors, ma première question pour toi c’est : quel a été ton premier voyage ?
Nikko : Eh bien ! mon premier voyage, ça a commencé assez tard, en fait. Si tu veux moi, je voyageais un petit peu en France avec mes parents. On allait l’été dans le sud de la France, dans les montagnes et tout ça. Mais après, pour moi, quand je pense aux voyages c’est vraiment partir à l’étranger, prendre l’avion dans un premier temps et découvrir une nouvelle culture. Et du coup, c’était seulement à mes 19 ans, la première fois que j’ai pris l’avion. C’était pour aller en Irlande à Dublin, passer un week-end. Du coup, c’était avec mon père et on allait voir ma demi-sœurEN: Half-sisterES: Media hermana qui étudiait là-bas, elle était en Erasmus. Donc on a été la voir, lui rendre visite et c’est la première fois où j’étais vraiment dans un pays différent, avec une langue différente et tout ça. Après ça, j’ai eu l’occasion de, juste un an après, donc quand j’avais 20 ans, d’aller vivre en Angleterre pour trois mois, pour un stageEN: InternshipES: Prácticas, un stage avec mes études. Là, c’était ma première immersion vraiment dans un pays. Donc en Angleterre, donc on était plutôt sur la partie anglophone.
Evka : Et tu parlais déjà anglais ou t’es arrivé avec aucune notion ?
Nikko : Non, je parlais déjà un petit peu, j’avais un bon niveau scolaire, on va dire. J’ai étudié dans le commerce, le commerce international puis ça m’a toujours pluEN: To likeES: Gustarle a alguien. Notamment, comme je te disais tout à l’heure, la musique et le cinéma, que j’aimais beaucoup, vraiment, tous les films et les groupes anglophones. Du coup, l’anglais m’a toujours vraiment, vraiment plu, donc non, je suis arrivé avec un niveau correct.
Evka : D’accord, ok. Et que représente pour toi le voyage ?
Nikko : Pour moi, le voyage c’est la découverte, l’ouverture sur le monde, apprendre des nouvelles cultures, des nouvelles langues, explorer des choses, les merveilles du monde et surtout, vraiment pour moi, ce sont les rencontresEN: MeetingsES: Encuentros.
Evka : Ok, d’accord. Tu nous as dit que t’aimais beaucoup la gastronomie. Est-ce que c’est aussi une partie importante pour toi du voyage ?
Nikko : C’est une partie très importante, la gastronomie. Pour moi, c’est venu un peu plus tard. Donc c’est quand d’ailleursEN: In factES: De hecho j’ai commencé à beaucoup, beaucoup voyagé. Donc, ça a toujours été une partie très importante, de vraiment m’ un petit peu dans la culture gastronomique de chaque pays. Alors, il y en a qui ont des cultures très fortes là-dedansEN: In itES: En eso, d’autres un peu moins, mais c’est toujours un vrai plus, pour moi, un pays qui a une culture gastronomique importante.
Evka : Et tu te considères un peu comme aventureux ? Enfin, je veux dire est-ce que tu essaies un peu tout ce qu’il y a ? Ou est-ce que t’as quand même un peu d’hésitation, parfois ?
Nikko : Non, je suis plutôt aventureux là-dessusEN: About itES: De eso. J’ai évidemmentEN: ObviouslyES: Obviamente goûtéEN: To tasteES: Probar les insectes au Mexique ou des animaux un petit peu bizarres, dès que j’en avais l’occasion.
Evka : Ok, d’accord. Est-ce que tu peux me dire dans quels autres pays t’as été et puis me raconter un petit peu si tu as eu un choc culturel ou ce que t’as préféré de ces voyages ?
Nikko : Alors, dans d’autres pays dans lesquels j’ai été, je veux pas faire la liste, ça va être un peu long. Mais bon, j’ai été sur, beaucoup, beaucoup, beaucoup en Europe et en Amérique Latine, donc j’ai fait vraiment la plupart des pays. J’ai fait l’Amérique du Nord, un petit peu d’Afrique, un petit peu d’Asie. Au niveau desEN: RegardingES: En cuanto a chocs culturels, je pense que le plus important pour moi, c’était vraiment la première fois que j’ai mis les piedsExpression : Mettre les pieds quelque partEN: To set foot somewhereES: Poner los pies en en Amérique Latine, en Colombie. Où là c’est vraiment, bah là c’était pour le coup, c’était découvrir une culture totalement différente, une langue que je ne maîtrisais pas du tout, le comportement des gens, la gastronomie, le transport, enfin tout est complètement différent, donc là je dirais que c’est mon premier grand choc culturel, donc c’était en 2010, en Colombie.
Evka : Et comment t’as fait, si tu parlais pas l’espagnol, pour te débrouillerEN: To manageES: Arreglárselas sur placeEN: On siteES: Ahí mismo ?
Nikko : Il y a la langue internationale, bien sûr, c’est de, universelle, pardon, c’est de se comme on peut. Et après, il y avait toujours, bon évidemment, l’espagnol est assez similaire au français donc, on peut comprendre, on peut lire un petit peu, on peut se faire comprendre, c’est ça le plus important au début. Et moi, je partais là-bas avec vraiment l’intention d’apprendre la langue. Donc, c’était beaucoup d’efforts, du travail, réviser un peu tous les soirs, et surtout, c’était d’aller de l’avant, donc d’aller vraiment à la rencontre des gens. Et je dirais que le secret, c’est de pas avoir honteEN: ShameES: Vergüenza, pas se sentir ridicule parce que évidemment, quand on parle avec un accent bien français, on fait des fautesEN: MistakesES: Errores tous les deux mots, les gens rigolentEN: To laughES: Reírse quand on parle. En fait, c’est, il faut bien le prendre, ils sont là pour… Ça fait partie de la procédure pour apprendre une nouvelle langue. Donc, c’est vraiment oserEN: To dareES: Atreverse et être ridicule.
Evka : Ça c’est un bon conseil Nikko. Pour une fois, je crois que je suis d’accord avec toi.
Nikko : Parfait, Evka. On commence bien.
Evka : Ouais, ouais, on est bon ! Est-ce que tu pourrais nous donner une anecdote un peu drôle de tes voyages ? Si tu te souviens de quelque chose.
Nikko : Alors, il y a, évidemment, plus on voyage, plus on a énormément d’anecdotes, mais il y a un petit fil rougeEN: Common threadES: Hilo conductor que j’ai eu sur plusieurs voyages et ce sont des rencontres totalement . En fait, c’est être à un endroit du monde, à des milliers de kilomètres de là où tu devrais, où tu appartiens, on va dire, ou tu devrais être et tomber sur une personne qui est totalement hors contexteEN: Out of contextES: Fuera de contexto. Donc, j’ai des petits exemples comme ça. J’étais en boîte de nuitEN: NightclubES: Antro (MX) en Lituanie, dans, même pas dans la capitale, dans une autre ville. Là je me fais bousculerEN: To jostleES: Empujar par un, par un garsEN: DudeES: Tipo. Donc, c’était… Il n’y avait rien de méchant, évidemment. Il s’excuse directAbréviation :Directement, moi aussi, pas de souciSynonyme : Problème. Et là, on se regarde et en fait, c’était un ancien collègue de classe de Brest, donc, de ma ville… de ma ville…
Evka : Un Breton ?
Nikko : Un Breton. Donc tomber sur un Breton, c’est assez commun mais tomber sur un Breton de ma ville, avec lequel j’ai étudié 4, 5 ans plus tôt, dans un bledEN: Dump, hole, godforsaken placeES: Poblacho pauméEN: LostES: Desubicado de de Lituanie, c’était assez incroyable. Ça m’est arrivé également à Buenos Aires, où j’étais sur le plus grand marché, San Telmo, de Buenos Aires. Là, je suis tombé surEN: To meet unexpectedly someoneES: Encontrarse por casualidad a alguien un étudiant qui vivait à 4000 km de Buenos Aires, que j’avais rencontré au Mexique. On est tombé ensemble sur un marché qui était rempli de personnes, dans une ville de 10 millions d’habitants. Et également, un autre souvenir à Prague, c’était dans un fast-food et là, même chose. En fait, je suis tombé sur un prof avec qui j’avais étudié en Argentine, dans ce fast-food, à Prague.
Evka : Ah mais c’est fou !
Nikko : Ah mais c’était incroyable ! C’était vraiment des rencontres… Donc c’est toujours… Ça fait partie des petites… On a… On a… On fait plein de… On parlait aventures et tout ça, et en fait, on se retrouve nez à nez avec une personne qu’on a rencontrée dans un contexte totalement différent et, ce qui nous montre que le monde est petit, comme on dit souvent.
Evka : Ah ! J’aime bien cette expression. Je l’aime beaucoup. Et est-ce que t’as déjà eu de mauvaises expériences ?
Nikko : Alors des mauvaises expériences, j’ai eu la chance, j’ai eu la chance de ne pas en avoir, j’ai pas eu de problèmes graves ou vraiment importants. Il y a eu des petits soucis à droite à gauche. Par contre, quelque chose que je voulais partager un petit peu, c’est plutôtEN: RatherES: Más bien un moment fort en émotion. On est parti sur une grande tristesse et qui s’est révélée être un grand moment et ça fait encore plus sensEN: SenseES: Sentido aujourd’hui puisque c’était en Ukraine.
Evka : D’accord.
Nikko : Et en fait, en Ukraine, j’étais à Kiev lors des attaques du Bataclan, en novembre 2015. Et sauf queEN: Except thatES: Solo que moi, j’étais en soiréeEN: PartyES: Fiesta, je suis rentré vers 4h du matin chez moi, j’étais pas du tout au courantEN: I didn’t know at allES: No sabía para nada. C’est quand j’ai ouvert mon portableEN: Mobile phoneES: Celular, j’ai découvert les atrocités qui sont arrivées et puis tous les messages de mes prochesEN: RelativesES: Cercanos qui ne savaient pas comment j’allais parce que tout le monde ne savait pas que j’étais en Ukraine, . Et , le grand moment c’était le lendemain, en fait, on était… J’étais là-bas pour le travail, pour un salon, pour promouvoir les études en France, dans une école de Paris. Et donc évidemment le contexte était vraiment très, très étrange. Et en fait, ce qui m’a vraiment touché, c’est tout l’apportSynonyme :Soutien, l’appuiSynonyme :Soutien des Ukrainiens qui sortaient… Ça faisait un an qu’ils sortaient d’une sorte de guerre aussi avec la Crimée, et qui ont eu des gestes, des parolesEN: WordsES: Palabras, des comportements vraiment, vraiment très touchants enversEN: TowardES: Hacia nous, les Français, qui étions à Kiev à ce moment-là. Il y a eu un… une réunion à l’ambassade, à l’ambassade de France à Kiev. Il y a énormément d’Ukrainiens qui sont venus, qui ont déposéEN: To drop offES: Dejar des germesEN: Bunch of flowers for funeralsES: Ramo de flores para funerales, des fleurs. Et c’était vraiment un moment, assez incroyable à vivre, d’échange et donc évidemment, ça fait beaucoup sens en ce moment parce que c’est maintenant eux qui sont, qui sont dans le besoin. Donc voilà, c’est un petit message pour dire que je pense fort aux Ukrainiens.
Evka : Ah Nikko, c’est vachementSynonyme :Vraiment émouvant. Je peux pas imaginer quand t’es à l’étranger et que ce genre de choses arrivent dans ton pays et de voir la solidarité qui peut y avoir, justement, entre les citoyensEN: CitizensES: Ciudadanos du monde, finalement, non ?
Nikko : C’est ça.
Evka : C’est touchant. Et ton plus beau souvenir ?
Nikko : Alors le plus beau souvenir… Bon, c’est , c’est, voyager c’est comme une fabriqueEN: FactoryES: Fábrica à souvenirs, donc on a énormément de souvenirs, d’histoires, d’aventures, d’anecdotes. Là, vu qu’on est en février, c’est encore le mois de la Saint-Valentin, donc j’ai, j’ai une belle anecdote de voyage. En 2014, j’étais au Venezuela pour, pour encore pour le travail, pour des salons et j’ai rencontré… Mon regard a croisé celui d’une très jolie demoiselleSynonyme :Girl, fort sympathique. Et donc, j’ai rencontré une Vénézuélienne là-bas. On s’est vus un an après à Paris. Je vais pas raconter tous les détails, les hauts et les basEN: Ups and downsES: Altibajos d’une relation à distance avec beaucoup de grands moments, beaucoup de moments difficiles, mais brefEN: AnywayES: En fin. En tout cas, cette jeune demoiselle partage aujourd’hui ma vie et vit ici avec moi au Mexique. Donc les voyages, c’est également des rencontres et des rencontres parfois un peu, un peu plus intimes que d’autres. Et voilà, on est un couple international avec des cultures différentes, mais c’est très enrichissant au quotidien. Et voilà, ça fait partie également des belles aventures des voyages.
Evka : Oh là là Nikko ! Tu es un homme plein d’anecdotes !
Nikko : Oh j’en ai encore plein !
Evka : Hmm… Je sais, mais malheureusement Nikko on peut pas rester parler toute la soirée. Désolée ! Mais j’ai une autre question pour toi : est-ce que tu penses que tes voyages t’ont changés ? Et si oui, de quelle façon ?
Nikko : Alors, oui évidemment, les voyages ont eu un impact assez important sur ma vie. Je dirais que ça, bon je parle pour moi évidemment, mais je pense que pour beaucoup de personnes, ça t’aide à devenir une meilleure personne parce que tu deviens quelqu’un avec beaucoup plus d’ouverture d’esprit, tu es plus curieuse, tu es plus , plus intéressée, ça t’aide également à gagner en… Tu es plus cultivéeEN: CulturedES: Culta à voyager, à rencontrer des personnes…
Evka : C’est vrai.
Nikko : … et intéressant parce que t’as des anecdotes, des histoires, tu connais un petit peu, si tu t’intéresses, tu vas dans les musées, tu connais l’Histoire de plusieurs pays. Mais ça m’a changé, je dirais, aussi et surtout, par les rencontres. Je donnais l’anecdote de la rencontre de ma copine, mais c’est beaucoup, beaucoup d’amis, beaucoup de personnes. Voilà, on va pas se voir tous les jours, évidemment, mais je sais que c’est des gens qui font partie de ma vie, maintenant, qui viennent du monde entier. Et voilà, c’est un peu cliché de dire ça, mais j’ai commencé à voyager comme un petit Français et maintenant, je suis un citoyen du monde. Ça fait un peu cliché, mais bon. Et paradoxalement, c’est en commençant à m’éloignerEN: To move awayES: Alejarse de mes terres, également, physiquement que je m’en suis rapprochéEN: To get closerES: Acercarse. C’est-à-dire que plus tu pars loin de ton pays, de ta région, plus tu te sens attaché à celle-ci parce que tu ressens un manqueEN: LackES: Falta qui n’existait pas avant, parce que quand je vivais en Bretagne évidemment, j’étais pas, je disais pas à tout le monde que j’étais Breton, car tout le monde l’était également.
Evka : Ah bon ?! Moi oui, moi je le disais.
Nikko : Et du coup, ça je me suis rendu compte de ça, je suis fierEN: ProudES: Orgulloso de, on va dire, de mon pays, de ma région, de ma ville et encore plus depuis que j’ai voyagé. Donc c’est un melting-pot dans une seule et même personne, entre plusieurs nationalités, plusieurs régions, plusieurs, plein d’amis un peu partoutEN: EverywhereES: Por todos lados.
Evka : Et alors pour finir Nico, est-ce que t’as une expression ou une citation qui te tient à cœurEN: To matterES: Significar mucho para ? Et est-ce que tu peux m’expliquer pourquoi est-ce que tu aimes cette citation ?
Nikko : En fait, il y a une expression qui prend beaucoup de sens et qui est liée au voyage et qui, encore une fois, comme je te parlais tout à l’heureEN: A bit earlierES: Hace un ratito, le premier choc culturel que j’ai eu c’est en Colombie. Donc, faut savoir la Colombie, j’y étais en 2010 pour la première fois et c’était encore un pays qui sortait vraiment d’une situation très compliquée. Je connaissais personne qui avait été en Colombie autour de moi. Et dans les médias ou autour de moi, on me disait : “ Mais pourquoi vas-tu en là-bas ? C’est dangereux, il y a les FARCDéfinition :Acronyme des Forces Armées Révolutionnaires de Colombie, un mouvement révolutionnaire colombien. Il s’agit d’un parti communiste clandestin considéré par plusieurs pays comme terroriste., il y a la drogue, il y a l’histoire avec les cartels, enfin, il y a tout ça.” Ça sortait juste de l’histoire de BetancourtExplication : ES: Íngrid Betancourt Pulecio, née à Bogota le 25 décembre 1961 , est une femme politique colombo-française, candidate à la présidentielle colombienne en 2002, enlevée par la guérilla paysanne des FARC et maintenue en captivité pendant plus de six ans dans la jungle amazonienne.. Et en fait, on est quand même partis là-bas parce que je voulais vraiment connaître ce pays et apprendre la langue et une nouvelle culture. Et qu’on est arrivés à l’aéroport, il y avait un slogan, on va dire, plus qu’une citation, c’était : “Colombia, el único riesgo, es que te quieras quedar.”. Donc, on pourrait traduire, l’unique risque de venir ici, c’est de vouloir y rester.
Evka : D’accord.
Nikko : Et donc, je trouve que ça prend tout son sens, pour extrapoler un petit peu vraiment sur l’univers du voyage, que ça montre qu’il faut avoir le goût du risque, faut être curieux, faut être capable de sortir un peu de sa zone de confort et découvrir le monde de ses propres yeux. Et cette citation m’a beaucoup marquéeEN: To leave a markES: Marcar, je tenais un blog à cette époque-là, c’était le nom de mon blog. Et donc je parlais, bon comme je disais, c’était un peu, pas seulement sur la Colombie, mais vraiment pour l’Amérique Latine, de manière générale, et ça a vraiment changé ma vie, ça a eu un impact important et voilà. Donc le voyage, pour moi, c’est l’une des expériences les plus importantes dans une vie et je recommande à tout le monde d’essayer de voyager le plus possible.
Evka : Ok, bah, vraiment Nikko, merci beaucoup. J’ai beaucoup aimé écouter toutes tes histoires dont la plupart… En fait, que je connaissais pas, en fait.
Nikko :. Eh oui, enchanté Evka !
Evka : Non, vraiment, c’était un plaisir. Je te remercie d’être venu avec nous. Et puis, ben, ça me ferait plaisir de refaire un podcast avec toi, si jamais t’es partantEN: To be willing toES: Te animas.
Nikko : Bien sûr, on pourra parler de foot, du PSG et tout ça.
Evka : Et ben, finalement, ce sera peut-être le premier et le dernier podcast, mais en tout cas, on aura bien profité de toi et de ton expérience.
Nikko : Non, bien sûr, merci beaucoup de l’invitation Evka. Avec plaisir pour revenir à discuter d’autres thèmes qui me sont chersEN: DearES: Queridos. On peut parler d’autre chose que de football. Et voilà, merci beaucoup. Bonne continuation avec tes podcasts et tes copains.
Evka : Ah oui ! Surtout !
Nikko : À très bientôt !
Evka : Merci Nikko ! Ciao !
Nikko : Ciao ! ¡Hasta luego!
Evka : J’espère que vous avez aimé ce podcast autant que moi. J’ai vraiment beaucoup aimé parler avec Nico et écouter ses histoires. Et puis n’oublie pas que, si tu veux écouter plus de podcasts et avoir accès à plus de matériel pour apprendre à parler français, va vite sur : frrrancais.com. Français avec 3 (trois) “r”. Tu peux aussi me retrouver sur les réseaux sociaux pour suivre l’actualité de mes publications et renforcer tes connaissances en français ! Je te dis à très vite pour un nouveau podcast.
NB : Notez que quand « eh bien » est immédiatement suivi d’un point d’exclamation, celui-ci n’interrompt pas vraiment la phrase et n’oblige donc pas à user après lui de la majuscule :
Eh bien ! qu’allons-nous faire maintenant ?
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